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"Pour tout cela et plus encore,
Pour la solitude des rois."
fa|ré-ca.pitulons. (où les trains vont dérailler)

Au cas où, de robes en robes, je finirais avec un monstre dans le ventre, c'est là qu'il faudra l'y pendre, et je l'enterrerai en coupant, tout autour, mes cheveux le crime. Mais l'on m'a promis de me le faire souvenir, les monstres, de les crucifier, aussi, à tous les plafonds. disant : en ré mineur de désespoir.
et de mots.

MAIS JE NE SUIS PAS UN ARBRE, LA PREUVE : JE NE VOLE PAS.

Quoique, cieux, j'ai soudain l'impression d'envoyer bien malgré moi quantité d'images subliminales. 





.Je couds sur mes meubles les berceaux d'enfants torves car ils sont petits. Ce sont de précieuses cachettes à leurs avouables inavoués, impitoyablement. On leur fait les poches, ils se crèvent les yeux, ôtent à tâtons et y cachent leurs billes. Ils ont des airs de pirates. Leurs jambes aussi se cassent. Ils sont hommes de verre qui se refusent jusqu'aux yeux.
Mes flibustiers taillent une hache.




Je répète que je suis l'Amazonie avant d'être mère, que je compte sur les étrangler tous, les monstres qui prévoient dans les destins des cals de mes mains de surgir dans mon ventre neuf mois, comme un règne raté, je suis mon propre roi ; neuf fois, comme un symbole de pèlerin, je suis mon bâton et je rosse les croix de mes deux bouches.




[Les rêves dans les colons Hirloe.]

"The words of the prophets are written on the subway walls."

psychocold
30-03-06 à 23:14

Masturbor culos dé viellas


Oscille.
 
sucre-en-poudre
02-04-06 à 17:30

= / On mache mes message

oo allez me trouver si loin. Dans les voeux de mon chewing gum qui est toujours immobile, à s'effriter , dans son papier de verre...
Mais si on me mélange à bab's ^^ !

Oscille.
 
kae
31-03-06 à 18:53

Alors, toi aussi tu sautes des ormes?

Oscille.
 
Bibasse
03-04-06 à 16:59

Bigre. En tant qu'arbre, tu es obligée de mentir.
A cause des amoureux et de leur cutters, des termites et de leurs coeurs, et de ceux qui valent savoir ton âge.
Et à cause des esprits qui se cachent en toi.

Oscille.
 
Slow
04-04-06 à 03:53

Je suis Bibasse.


Oscille.
 
soubresaut
04-04-06 à 11:49

je te crois pas la moindre fraction de seconde, petite tarte.

Oscille.
 
soubresaut
04-04-06 à 11:49

riez :

tartelette.

Oscille.
 
Slow
04-04-06 à 22:49

Évier intox my brin

Je n'ai jamais prétendu être Bibasse...


Oscille.
 
Bibasse
05-04-06 à 02:02

Re: Évier intox my brin

C'est une incompréhension :

Il faut me

suivre


survivre/rive=usure

vivre=survirer


Oscille.
 
Bibasse
05-04-06 à 02:09

Les arbres volent, ma chère, ils volent au vent d'automne,
et aux tonnerres de la guerre.
J'ai une collection de leurs cheveux dans un cahier d'école prisonnière.
Promets moi que tu me garderas une feuille.

Oscille.
 
soubresaut
05-04-06 à 07:51

je ne suis pas un arbre.

Je ne t'ai jamais accusé d'être bibasse.

Je vais finir chaise à bascule.


Oscille.
 
Bibasse
05-04-06 à 19:53

Re: je ne suis pas un arbre.

"Ce n'est pas un crime d'être une bibasse!" Dit le rocking chair.

Tout à l'heure, je marchais dans la vie, et j'ai entendu, "tac, tac, tac, tac".
J'ai cru au drame, je me suis jeté dans l'escalier qui m'a repoussé par le haut.
J'ai défaussé la porte, je m'attends à voir l'homme mort, son corps criblé de dettes envers la réalité.
Il y avait déjà la caisse en bois. Et l'oiseau qui chantait.
Tandis que je montais l'escalier, le temps avait laissé à l'homme la fenêtre de son forfait.
J'ai vu ses pointes, sa cadence. Tout s'est saccadé.

Trop tard.

Pendule.

Après avoir refermé la fenêtre, je suis rentré chez moi.

Oscille.
 
mouha
09-04-06 à 03:52

Qui voisin le s'enfonce comme je suis arbre

Bab's qui était la folle des lois où règnent ce que règnent et qui existent quand j'embrase et rie des enfants qu'ils puissent être ce qu'ils puissent être et dénoncer la vie quand Robert Smith et écrire comme quand et lorsque la drogue dans les ténèbres hurlantes de la glace et l'idiotie quand j'entremêle et ils décortiquent quand la grande Weeping Willow s'enfonce un soulier dans le cul et que je suis un garçon qui est homme dans les femmes qui aiment les nombrils sinistres que chantent les grands artistes qui imitent les fous dans les asiles et qui gobent des pilules pour honorer les rois de campagne que j'embrasse et j'embrasse quand j'embrasse et je suis là, derrière toi, oui ma belle, je ne te laisse pas tomber quand tu tombes.


Oscille.
 


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