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s.

"Pour tout cela et plus encore,
Pour la solitude des rois."
abominables parlants


Je commence à espérer comme on regarde bouffer un boa -j'avale rond et dors deux cents fois. Toutes proportions gardées. Je m'assieds sur un coin de souche et je regarde mes ongles tomber comme des champignons vénéneux. Que mon père les mange et suffoque. Et la vipère s'entoure au boa.

Là les séquoïas en cercle comme des menhirs me font penser à une horde d'incendiaires qui battent le fer et abattent les lamineurs. A travailler au feu on ne se rend pas toujours compte que l'enclume est comme un oignon qui remonte nu du fond de votre ridicule gorge. Je pense qu'à s'écraser on devient vite son propre carbone, et on refuse de s'avouer.

Dans mes épées je creuse de quoi brûler les plaines bleues qui ondoient et se déchirent comme paille. Moi : le foin qu'on en fait. L'innocence : ne crache pas à la gueule d'avortons minables goûteurs de mort-aux-rats.

Quant à tant qu'à parler de vices, il ne faut pas perdre de vue que je suis un écrou qu'on chauffe à blanc, et que je peux très bien combler interstices d'où vous respirez. J'ai élaboré l'oxygène en nouant l'amertume à l'habileté, et d'orgies médicamenteuses en faux-semblants, je rejoins mes têtes.

J'entraperçois l'onéreux, je trie le miraculeux, j'écris un livre et le sacre en position d'attaque. J'arrache et brûle et mords introduis et pars. Un écrou comme une échelle : dévaste.

Pour ce qui est de dévaster j'ai pensé à une petite hache où ramper sur d'hostiles terrasses. Un temple à l'espoir pour le côté ouateux du doux-amer, un radeau et le Nil qui dégoûte vile par les siphons. J'invoque une tornade pour vous arracher un pan de coeur. Vous tenez très mal le plan de ce village russe où vous acheminez l'audace sur un traineau. Caries.


J'ai bien sûr jamais eu l'cru de m'marier, et puis d'porter des combinaisons d'hôpital, et d'misoler et d'faire hurler un monstre. J'ai volé un serrurier qui m'fait des fûts avec des yeux, où l'vin d'mes aveux bouillone. Je suis comme un dieu grec qui s'réjouit avec constance.

J'ai terminé mes noces inavouées dans un puits de pétrole, et d'un mât de cocagne j'ai décroché un faon. On pend aussi des terres épuisées et des châteaux de fureur ; on peut même cracher dedans et lever les mains devant un vitrail. On lit dessus imitation d'ivoire pour bonnet d'âne de sainteté.


Je me prends les pieds dans tes cobras, tes pièges gangrènes de ma provision de ganache vaurien galapiat., des vies de serpents de galériens et d'archidodus, faire le rôt de la sottise immuable, immuable éléphant.


J'accule !

"The words of the prophets are written on the subway walls."

Bibasse
22-04-06 à 02:52

Les monstres qui écoutent sous le lit

    La logique se mord la queue jusqu'aux cents. Tu es l'unité derrière laquelle la forêt bruissante

joue à chat et s'élabore éléphant.
Prends un air détaché à la hache,
l'espace entre les mots dépecera le silence.


Oscille.
 
soubresaut
22-04-06 à 12:34

ce ne sont qu'histoires d'aventures.

"je n'en doute pas."


Oscille.
 
Anonyme
23-04-06 à 20:47

Re: ce ne sont qu'histoires d'aventures.

[ Le Grand cahier ^^ ]

Oscille.
 


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